Ottawa (Ontario) – Après neuf ans sous Justin Trudeau, la pauvreté et l’insécurité alimentaire continuent de grimper. L’année dernière, les banques alimentaires ont dû gérer un nombre record de 2 millions de visites en un seul mois, et un million de personnes supplémentaires sont attendues en 2024. À Toronto, une personne sur dix doit recourir aux banques alimentaires pour survivre.
Cette misère a été révélée une fois de plus aujourd’hui par le bulletin de la Banque alimentaire du Canada sur la pauvreté en 2024. Il en ressort que près de 50 % des Canadiens se sentent moins bien financièrement que l’année dernière, tandis que 25 % d’entre eux sont en situation d’insécurité alimentaire.
En outre, Banques alimentaires Canada a signalé que le coût de la vie est devenu si élevé que les banques alimentaires ont enregistré une augmentation de 50 % du nombre de visites depuis 2021. Conséquence directe des dépenses et des taxes inflationnistes du gouvernement Trudeau, des millions de Canadiens luttent pour garder la tête hors de l’eau. C’est pourquoi Banques alimentaires Canada a rétrogradé la note du gouvernement Trudeau de D en 2023 à D – en 2024.
Les Canadiens ont désespérément besoin d’aide, mais Justin Trudeau ne les écoute plus. Le mois dernier, Trudeau a décidé d’augmenter à nouveau sa taxe carbone de 23 %, ce qui a fait grimper le prix du gaz, du chauffage et de la nourriture. En outre, malgré les multiples avertissements des conservateurs de gros bon sens, Trudeau a décidé d’ajouter 61 milliards de dollars de nouvelles dépenses dans son dernier budget, ce qui maintiendra les taux d’intérêt à un niveau élevé pendant plus longtemps, au moment même où des millions de Canadiens renouvellent leur prêt hypothécaire. Comme l’écrit Banques alimentaires Canada dans son rapport, « alors que la pauvreté et l’insécurité alimentaire s’aggravent dans tous les coins du pays […] la plupart des gouvernements ne réagissent pas avec l’urgence qui s’impose ».
Justin Trudeau n’en vaut tout simplement pas le coût. Seuls les conservateurs de gros bon sens plafonneront les dépenses, couperont la taxe carbone et ramèneront le gros bon sens avec de plus gros chèques de paie pour les Canadiens.